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daphné est atteinte de troubles de bipolarité(troubles chroniques de l’humeur);c’est com si on branchait 2 prises sur la même multiprise mais pas de même voltage; son humeur change rapidement tantôt phase maniaque:euphorie et délire,hyperactivité,optimisme débordant, sentiment de tte puissance,déshinibition; tantôt dépression traduit par tristesse désespoir,perte d’intérêt et de motivation,pessimisme,culpabilité, dépréciation,repli sur soi;un jour ds sa phase maniaque elle a décidé de se faire des piercings fluos sur tt l’hélix; elle exultait:pourtant elle a tjs eu horreur de ça qd elle allait bien;mais voilà ds sa phase dépressive;elle ne supportait pas du tt ce qu’elle avait fait à son oreille;elle pleurait, s’en voulait même après les avoir enlevés;elle sortit ds le jardin et alla se « terrer’ derrière la cabane sur le sol rocailleux ;dur à soigner; pas de remède miracle pour guérir;juste un traitement médicamenteux pour alléger les symptômes:lithium, anticonvulsant et antipsychotique. à moins d’être détecter plus tôt
une note était affichée depuis plusieurs semaines sur la vitre de l’école maternelle;impossible de ne pas la voir:il est strictement interdit de s’arrêter et stationner sur le passage piétons;mais la même personne,ts les jours d’école faisait fi de cette interdiction;à plusieurs reprises la directrice qui est aussi professeur des écoles lui a fait la remarque et a ajouté que la prochaine fois elle appellerait la police;ça sert à quoi qu’on apprenne le code de la route aux enfants,si les parents ne le respectent pas;la maman répondait j’en ai pour 5 mns;mais tt le monde en a pour 5 mns,voir moins;mais personne d’autres qu’elle ne se gare là;il y a plein d’emplacements juste juste à côté;elle devait se dire que la maitresse ne mettrait jamais sa menace à éxécution,à moins que ce ne soit un parent d’élève exaspéré,jusqu’au jour….<madame> dit la policière d’un air mélangé de sympathie et de sévérité,<vous savez que c’est interdit de se garer sur les passages piétons>; malaisément la contrevenante répondit:j’en ai juste pour 5 mns,juste le tps de déposer mon gamin;mes 2 bébés sont à bord;je peux pas les laisser plus loin montrant à l’arrière les 2 bb en question;-c’est pas une excuse d’autres parents ont des enfants à bord;donnez moi vos papiers;je prends votre nom;ce sera un avertissement pour cette fois ci;mais le dernier;on put lire un ouf de soulagement sur le visage de la maman;et le lendemain elle recommençait;elle devait être timbrée pour tenter le diable comme ça;pas de chance cette fois ci,simple ronde de police;récidive elle va casquer.
Couvre-lit : pièce de tissu recouvrant un lit
Sympathomimétique : Substance chimique, médicamenteuse ou non, qui stimule le système nerveux sympathique
Balancine : Sur un voilier, bras qui, de la partie supérieure du mât, soutient l’extrémité libre d’un espar.
Calibre :
1. Diamètre intérieur d’un cylindre creux.
2. Diamètre d’un fruit, d’un œuf, etc., permettant un classement par grosseur.
3. Argot. Revolver.
Ovulation : Expulsion d’un ovule par l’ovaire, chez la femme et les animaux femelles.
Notabilité : Personne qui occupe un rang importantGégé sortit son calibre et menaça le monsieur bien fringué dans cette ruelle mal éclairée.
Il lui demanda de façon brutale de lui refiler son oseille et ses cartes de crédit avec les codes bien sûr.
Il n’était pas à son premier coup, notre Gégé. Et la police avait sur lui de quoi faire un roman.
Le monsieur à l’autre bout du révolver était une notabilité qui ne laissa pas impressionnée. Il détourna l’attention du braqueur vers lui pour laisser sa jeune épouse de côté. Faut dire qu’ils voulaient avoir un enfant et qu’ils revenaient du génico qui leur avait annoncé que la semaine prochaine madame ferait son ovulation.
Donc, notre personnalité s’éloignait de plus en plus et lorsque le danger lui sembla suffisamment écarté, sauta sur l’agresseur devenant ainsi lui-même l’agresseur. Gégé ne vit rien venir et fut maitrisé vite fait ; mais le coup partit et blessa le malfrat au ventre avec un abondant saignement.
Les secours l’emmenèrent à l’Hosto et sous sympathomimétique , il luttait entre la vie et la mort. Mais sur le couvre_lit de sa chambre on avait quand même placé des sangles pour l’empêcher de se sauver s’il revenait à lui.
Pour le coup, il en réchappa et demanda pardon à cet homme qui l’avait sauvé malgré sa mauvaise action au moment de leur rencontre.
Le monsieur était juge et il lui trouva même un boulot dans la marine où il apprit alors à subvenir à ses besoins honnêtement. Bien sûr, tout un jargon était à apprendre et la balancine le faisait toujours sourire car il pensait alors à une « balance » qui dans son ancien milieu n’était pas bien vue.
Les rencontres parfois malheureuses débouchent sur une fin agréable. Gégé a même fondé une famille depuis.
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