Autour et entre-nous

[g.p]

Sucette-perroquet-huissier
Quand on toqua à la porte, la dame savait ce qui l’attendait. Elle ne payait plus son loyer et le propriétaire faisait valoir ses droits. Elle avait été prévenue de longue date, mais un divorce difficile, une période de dépression et la perte de son travail, tous ces éléments réunis avaient eu raison de sa volonté de s’en sortir. Petit à petit elle avait sombré dans la misère. Elle avait restreint son train de vie qui n’était déjà pas exubérant. Elle ne s’accordait qu’un repas par jour pour donner un peu plus à sa petite fille qui avec l’insouciance de ses cinq ans jouait avec une poupée défraichie à laquelle manquait un bras. Elle la câlinait tout en mâchouillant une SUCETTE offerte par une gentille voisine.
Résignée, la maman ouvrit la porte et dans son encadrement apparut un homme à l’allure aussi sombre que celle du costume dans lequel il était drapé. Il prenait mille précautions pour justifier sa venue, mais c’était inutile, il devait accomplir la mission qui lui avait été assignée. D’un regard circulaire il avait fait le tour de la pièce enregistrant mentalement ce qu’il allait pouvoir saisir.
La petite fille s’était rapprochée de sa maman et s’accrochait à elle comme si elle pressentait un danger imminent.
L’HUISSIER évaluait chaque objet et les quelques meubles qui constituaient toute la richesse de la famille tout en prenant des notes sur un calepin recouvert de moleskine noire.
Son oeil se fixa sur un objet de couleur qui trônait au milieu du buffet de la salle à manger. Il prit l’objet dans ses mains, le tourna et le retourna. C’était un PERROQUET en biscuit coloré, dernier souvenir de la grand-mère qui s’était envolée au paradis.
La petite fille laissa échapper une larme qui eut le don d’attendrir le coeur de l’homme qui soudain se sentit mal à l’aise et reposa l’objet sans rien noter sur son bordereau d’inventaire.
« Dur métier » se dit-il…

[marysha62]

oui c’est triste; çà n’arrive pas qu’aux pauvres;certains riches qui vivent dans l’opulence et ne veulent pas payer « attendent » jusqu’au bout l’arrivée des huissiers
à + je vais à un vide grenier:livres et jouets;c’est pas très loin de chez moi

[thelog]

Etre HUISSIER, et ce à n’importe quelle époque, n’est pas facile. Une des facettes du métier consiste en effet à « obéir » à un ordre du juge pour la saisie des biens d’une personne qui le plus souvent vit déjà dans la misère. Les impayés doivent être recouverts et ce à n’importe quel prix.
Mais pensez-vous que ces dignes représentants de justice n’ont pas de cœur ? Eh bien ! Non. Ils ont un cœur et essaient de faire le plus souvent au mieux avec le facteur humain.
De retour à son étude, après avec suspendu son pardessus au PERROQUET et s’être assis derrière son bureau, il passe à l’affaire suivante.
« Ah tient, cela concerne un marchand de SUCETTES qui ne paye pas ses factures », je me suis déjà occupé de cet énergumène et tout chez lui n’appartient qu’à son épouse et n’est donc pas saisissable. Faut dire qu’il a affaire à un petit futé qui sait détourner la loi à son avantage.
La malhonnêteté est courante dans les affaires et cela alimente bien son lot quotidien de cas à étudier.
Puis il y a le côté qu’on peut qualifier de POSITIF : les conseils qu’il donne ou qui lui sont demandés par des particuliers pour respecter la loi et être en règle lui procure la satisfaction nécessaire à tout bon métier. Et même en cas de conflit intense, il est là pour mettre en accord les 2 parties avec le moins de mal de part et d’autre. Ah, savoir jongler avec la loi et les hommes, c’est tout un art que l’huissier doit exercer avec agilité tout en étant honnête, impartial et compétent.
Oui être huissier n’est pas toujours facile c’est pourtant un beau métier. Mais attention il gravite autour de la frontière entre le bien et le mal. Et malheureusement, il arrive qu’une étude tombe dans l’illégalité et soit du coup fermée. Mais c’est plutôt exceptionnel.

Mais il est vrai aussi que de voir un huissier sur le seuil de sa porte produit son effet et la peur au ventre nous le laissons entrer pour voir de quoi il va nous entretenir.
J’ai, personnellement, vécu cette expérience « douloureuse » et heureusement il s’agissait d’un acte en ma faveur. Du coup ça détend très vite l’atmosphère (vous vous en doutez).

Sur cette fin, bon dimanche

[thelog]

Voici une autre petite histoire

La journée avait bien commencé. Ce jour là, les visiteurs sont tous regroupés autour du guide et parcours avec discipline les couloirs du bâtiment du chef de la nation. La Maison-Blanche des états-unis d’Amérique connait ainsi une foule de curieux qui se régalent des détails de la vie des présidents.
Mais voilà que le gérant de cette demeure, Charlie, court partout dans les différentes salles.
Il recherche un PERROQUET bleu du Brésil qui s’est échappé lors du transfert de sa cage de transport à la volière de la première Dame.
Etait-ce son rôle de courir après cet animal ? lui, le HUISSIER en chef de la Maison-Blanche.
Et oui, car il est en charge du bon fonctionnement de ce complexe.
La course dura quelques instants et avec l’aide des employés de maison l’animal fut maitrisé et sans aucun mal fut installé dans la grande volière où il retrouva ses congénères.
Puis Charlie regagna ses quartiers pour continuer la gestion de cette grande masure.
En chemin, il tomba sur une petite fille visiblement perdue dans le labyrinthe des couloirs. Celle-ci pleurait après sa maman et ne sachant comment la calmer, il lui offrit une SUCETTE aux effigies de la M-B et du président pour sécher ses larmes. Ensuite, il retrouva le groupe dans lequel la mère affolée de ne plus trouver sa fille se trouvait et ainsi, tout rentra dans l’ordre. OUF

J’ai pris cet exemple de l’emploi de huissier en chef de la Maison-Blanche car je ne le connaissais pas et je l’ai trouve sur Wiki.

• Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 4 mois par thelog.

[marysha62]

bonsoir!
bienvenue à tous au camping des dunes,pour l’élection de notre miss camping 2017!tout de suite nous accueillons nos candidates sous vos applaudissements
« Julie nous vient d’avignon » crie l’animateur sous les bravos et les wououou positifs;celle ci déambule en petite robe légère et talons hauts, sur l’estrade installée pour l’occasion; et après une petite révérence au public fit demi tour et partit derrière le rideau; »notre 2è candidate nous vient de lille,elle s’appelle suzon »;celle ci est habillée d’une longue robe rouge moulante et de petits escarpins,un petit coucou au public et hop demi-tour; »notre 3ème candidate nous vient tout droit de hollande,faite un triomphe à Anna »;par esprit de contradictions ils se mirent à la huer;elle leur décocha un énorme sourire qui déclencha quelques rires et fit demi tour en balançant exagérément des fesses pour les narguer;elle était vêtue d’un short court et d’un tee shirt orange aux couleurs de son pays;comme cette élection n’est pas très sérieuse chacun s’habille comme il veut;n’importe quelle campeuse peut se présenter ; notre 4è candidate venant de la région parisienne s’appelle Mario:relisant ses fiches il dit: » ah çà doit être maria c’est mal écrit »;maria!et là apparut un énorme gaillard maquillé à outrance, habillé d’une mini jupe et d’un corsage qu’il n’a pas réussi à fermer;il déclencha les fous rires et se présenta lui même au public avec sa grosse voix graves: »moi c’est mario et j’ai le n°4;votez pour moi »;acclamations mario mario mario;il repartit comme il était venu.
marie de brest n°5,sylvie de strasbourg n°6,laetitia des landes n°7,lucie de vendée n°8 énuméra encore julien l’animateur en accélérant le rythme; »ha elle nous vient du village d’à côté applaudissements pour élodie »;elle créa l’étonnement de julien qui ne s’y attendait pas du tout; l’élodie en question n’est autre qu’une des animatrices du camping très jolie très sympa et surtout très drôle;le public lui fit une ovation;elle avait mis les vêtements les + moches,déchirés et « sales » qu’elle avait trouvés;elle fit quelques acrobaties sur l’estrade;raconta quelques histoires drôles et voyant que son collègue commençait à s’impatienter sauta de l’estrade en criant »je ne fais que passer au revoir et voter pour moi »;et elle rejoignit le bar;d’autres lui succédèrent de chaque coin de france et quelques étrangères;des belles des – moins belles,petites, grandes,maigres, grosses et même une petite fille de 8 ans qui s’appelle sarah;elle s’est présentée sur scène avec une énorme peluche qu’elle avait du mal à tenir dans ses bras;quelques pas de danse avec son « compagnon » et comme les autres repartit derrière le rideau; »pendant l’entracte avt le passage en mailot de bain, »wou wou wou »s’échappa de la foule, je vous invite tous à aller vous rafraîchir au bar spécialement ouvert pour l’occasion,où vous retrouverez sûrement élodie »; »je vous laisse une demi-heure »; 3/4h après il revint(c’est les vacances même si lui travaille); »amis campeurs rebonjour!sans plus tarder ns allons accueillir nos candida tes » appuyant volontairement sur la dernière syllabe en pensant à mario pour le 2è passage qui se fera en bikini »;cris ds le public;elles défilèrent toutes sur l’estrade en même temps;les + jolies qui n’avaient pas honte de leur corps avait opté pour un joli bikini,d’autre moins sûres d’elle un maillot de bain 1 pièce; la petite fille qui accompagnait sa soeur avait mis une sorte de justaucorps avec un tutu en dentelle;elle était toute mignonne;apparu mario ds un joli bikini rose bien flashy qui encore 1 fois fit rire tt le monde; et élodie,elle,avait opté pour un maillot de bain à l’ancienne(qui descend jusqu’aux genoux) qu’elle portait pardessus des collants en laine rayé noir et blanc;toujours sous les bravos,com la 1ère fois elle fit une pirouette et fila au bar;après le passage de toutes et tous julien com la 1ère fois demanda au public de patienter au bar; »je reviens ds 10mns après délibération du jury « ;mesdames et messieurs monsieur le huissier(3) maitre Onome qui n’est autre que le directeur du camping)ici présent vient de me remettre en mains propres (regardant ses mains)pas si propres que çà le nom des 5 gagnants;en 5ème place Mercédès(jeune fille plutôt banale d’apparence mais si charmante et tjs souriante) de bordeaux gagne 1 cocktail et 1 sandwich offert par la brasserie du camping des dunes »; « en 4ème position nous retrouvons la belle Maria »dit julien avec sourire amusé;mario sautait de joie com un gamin pour amuser la galerie tt en criant « monsieur monsieur qu’est-ce que j’ai gagné »?regardant sa fiche julien répondit »une séance d’épilation » chez lola;là de grands rires éclatèrent;fallait que çà tombe sur lui;la 2è dauphine céline(qui n’est autre que la soeur de la petite fille au nounours);un bon gratuit pour 1h de spa;1ère dauphine anna(encore huée gentiment) qui prit le bon pour un repas gratuit au perroquet(1) d’argent pour 4 personnes et le brandissant, com la 1ère fois, se trémoussa en balançant les fesses;et enfin notre grande gagnante pour une semaine de rêves:cocotiers perroquets plage dorée etc..et tout çà gratuitement,tout compris au camping des dunes pour pour suspens, pour suzon de lille;bravo le nord;cris de joie,pleurs de joie ds les bras de ses copines qui sont montées entre temps sur l’estrade;suzon, doublement contente car aujourd’hui c’est son anniversaire et elle est venue au camping avec ses amies pour le fêter;elle en fit part au public qui entonna joyeux anniversaire;la foule commença à s’éparpiller quand julien dit au micro encore un prix mais hors concours pour la petite sarah ; »monsieur le huissier lui offre une sucette(2) à prendre au bar et lui offre une place pour popland le parc de jeux à 10 kms du »… et la foule se mit à crier: »camping des dunes »
malgré toutes les voix qu’elle avait remportées élodie faisant partie du personnel n’a pas pu être classée;elle aurait été la 1ère;l’animatrice le savait avant de s’inscrire.

• Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 4 mois par marysha62.

[thelog]

Bonjour à tous
Voici les 3 nouveaux mots :
Nombril
Bouton
Effacer

[marysha62]

eh cuzco(c’est son prénom) tu te prends pour le nombril du monde;t’as tellement de boutons sur ta tronche qu’on dirait une calculette;tu sais qu’il existe une touche « effacer »pour être beau comme moi dit son meilleur ennemi
c’est l’histoire courte

[g.p]

Nombril-bouton-effacer.
Tout comme Narcisse séduit par son image qui se reflétait dans l’eau, le jeune homme se savait beau et ne se privait pas de le montrer.
Mais sa beauté n’était que le reflet extérieur d’un être sûr de lui et qui en imposait comme on dit.
Les garçons ne l’appréciaient pas trop et s’éloignaient de lui. Il s’en rendait compte mais n’en n’avait que faire car il ne voyait que sa belle petite personne. Souvent autour de lui les filles se pâmaient d’admiration pour cette beauté divine.
Un matin il se leva et comme d’habitude il se pavana devant le psyché de la salle de bains admirant son beau corps d’éphèbe. Ce fut alors l’effroi! Un BOUTON gros come une tête d’épingle avait fait son apparition en plein milieu de la joue. Quelle désolation! Vite un peu de fard pour EFFACER cette terrible infâmie. Son calvaire venait de commencer.
Un bouton, puis un autre vinrent parsemer son joli visage jusqu’ici lisse et immaculé. A force de ne contempler que son NOMBRIL, il ne s’était jamais rendu compte que les copains de son âge avaient le même problème. Mais pour lui, pas question de ressembler à tous ces jeunes qui lui semblaient insouciants de leur apparence et qui laissaient fleurir ces petits boutons qui les défiguraient. Il fallait à tout prix effacer ces traces. Avec application il fit éclater un à un toutes ces petites pointes purulentes. Mal lui en prit car il se retrouva quelque temps plus tard avec la face constellée de petites plaques ineffaçables.
Sa fierté en prit un coup. Il devint plus aimable avec son entourage et perdit peu à peu cette arrogance qui le caractérisait.
C’est alors qu’il retrouva ses amis.
Il apprit ainsi que la beauté physique ne vaut pas grand-chose, ce n’est qu’une enveloppe qui perd un jour son éclat.
Quant à la beauté intérieure, la beauté impalpable, celle qui ne se voit pas, elle reste discrète mais attentive et bienveillante avec tous.
Beaux ou laids nous avons tous cette beauté-là en nous.

[Queenie]

Certes mais franchement j’aurais quand même préféré être une beauté. Je ne suis pas moche mais c’est plus facile pour beaucoup de choses quand tu es belle ou beau….
Quand Marie appuya sur le BOUTON pour appeler l’ascenseur, elle en profita pour se regarder dans les portes bien astiquees pour vérifier son apparence. L’entretien qui l’attendait était important et elle voulait mettre tous les atouts de son côté pour être retenue
à ce poste de secrétaire de direction. Elle savait que bien présenter était primordial pour son employeur. Non pas qu’il aimat les belles femmes ( il ne les détestait pas non plus, faut pas exagérer) mais c’était un point appréciable pour recevoir ses clients .
La coiffure ca allait. Pour le reste les portes étaient bien nettoyées mais ne valaient pas un miroir. Les portes s’ouvrirent et elle pénétra dans l’ascenseur. Chouette,même pas besoin de sortir son miroir de sac, un côté intérieur de l’elevateur était un miroir. Elle put alors vérifier l’ensemble de sa silhouette et en fut assez satisfaite.Sans être une Venus, elle était plutôt agréable à regarder. Cheveux auburn coupés en un carré plongeant, taille qui lui aurait permis de postuler dans une compagnie d’aviation et de jolis yeux verts pétillants.
L’ascenseur s’arrêta à l’étage demandé. Les portes s’ouvrirent et elle allait mettre un pied dans le couloir quand un jeune homme s’engouffra avec rage dans la cabine. Elle eut juste le temps de s’EFFACER pour éviter qu’il ne lui écrase les chaussures. Quand l’homme réalisa son impolitesse il rougit, balbutiant quelques mots d’excuse et se recula au fond de la cabine pour laisser sortir Marie. Ce qu’elle peut enfin faire.
Dans le couloir la porte d’un bureau était ouverte et c’est juste là qu’elle se rendait. Le possible futur employeur de Marie l’accueillit avec un sourire tout en lui demandant d’excuser son fils, le jeune homme de l’ascenseur. « C’est un jeune sans manière. Sa mère n’a pas su lui inculquer le respect qu’il lui faudrait pour me succéder dans quelques années . Il se prend pour le NOMBRIL du monde.Si je vous prends dans mon équipe, nous aurons du fil à retordre. »
Il fit asseoir Marie, jeta un œil rapide sur les lignes du CV, lui posa quelques questions dont les réponses parurent le satisfaire. Et il lui déclara qu’il retenait sa candidature pour un essai de 15 jours. Il avait absolument besoin d’une collaboratrice pour l’épauler depuis que sa précédente secrétaire l’avait quitté pour changer de région.
Et voilà comment Marie commença dans son nouvel emploi.

[marysha62]

trop bien quee! tu vois que tu peux écrire aussi de grandes histoires;va falloir que je raccourcisse les miennes;hier j’ai passé + d’1h à l’écrire
« viens ma chérie,viens jouer avec maman » proposa lucille à sa fille léa pour effacer(3) les grosses larmes qui coulaient sur ses joues;elle s’était égratignée le genou en tombant; »viens faire un câlin à maman » dit-elle en la prenant ds ses bras;elle avait un remède infaillible pour lui faire retrouver le sourire;elle lui appuya sur le bout du nez en imitant le bruit de clochette et en lui disant « il est où ton nez »?mais pas de sourire; »elles sont où tes oreilles » dit-elle en soufflant légèrement dessus;une ébauche de sourire; »il est où ton bidou » dit-elle encore en lui chatouillant les dessous de bras et descendant vers le nombril(1);de petits rires commencèrent à sortir;lui donnant de gros bisous chatouilleux sur le ventre elle lui dit encore »il est où le trou du cul de la poule?il est là »en lui montrant son nombril;la petite fille s’esclaffa enfin tt en répétant en boucle: » il est là le trou du cul de la poule » il est là;trou du cul de la poule;trou du cul de la poule »… et elle se mettait à rire de + belle entraînant même sa mère ds son petit délire;sa maman continuait de la chatouiller quand tout à coup la télévision se mit en route,le son à fond, les stoppant net; pendant leurs chamailleries elles ne s’étaient pas rendu compte qu’elles avaient déclenché un des boutons(2) de la télécommande;un peu calmées ttes les 2 lucille dit à léa « çà s’appelle un nombril pas un trou du cul de poule »;mais c’était un peu trop tard pour faire un cours de français à sa fille qui repartit à ses jouets tt chantonnant: » trou du cul de la poule, trou du cul de la poule »;bon! un peu dépitée la maman sachant que c’était sa faute dit dans le vide: »c’est bon pour cette fois ci;je le lui rappellerai plus tard qu’on ne dit pas trou du cul de la poule »;on pouvait voir apparaître un léger sourire sur ses lèvres;son but était atteint:redonner le sourire à sa fille.

[thelog]

Aujourd’hui, vous êtes en verbe les ami(e)s et je trouve comme l’a dit Mary que le niveau des histoires s’élève de plus en plus.
Et croyez-moi, ça m’enchante vraiment. G.P. relate un truc de mec (le narcissisme) d’ailleurs il en est mort le pauvre Narcisse. Mary est aussi dans la beauté avec son concours du camping et dans le sentimental avec la petit file consolée. Et Queenie qui ne se reconnaîtrait pas dans ces instants d’avant l’embauche. Encore merci pour ces merveilleuses pages d’évasion.

Maintenant je dois pondre la mienne et t’en cas faire dans un registre différent des vitres.
Et j’aime bien l’aventure et j’aime bien aussi l’espace, la science-fiction. DONC …
James T Kirk, pour ceux qui ne le connaisse pas, c’est le capitaine de l' »ENTERPRISE » un vaisseau spatial dont la mission est de découvrir l’univers, des mondes nouveaux et de nouvelles civilisations.
Donc Kirk en compagnie de l’équipage voyageait déjà depuis plusieurs mois dans un partie inexplorée de l’espace.
La mission qu’il avait acceptée consistait à retrouver ce qu’une légende désignait comme le NOMBRIL du cosmos (là où tout est relié à l’élan originel de la création de l’immensité).
Ils étaient ainsi parti vers l’inconnu à une vitesse vertigineuse dépassant de plus de 8 fois la vitesse de la lumière. ce qui rendait les distances inimaginables du cosmos plus « humainement » accessibles.
Donc, dans cette quête du NOMBRIL, Kirk, épaulé par le Vulcain Spock (être de pure logique que sont les vulcains) son ami, s’attendait à rencontrer quelques difficultés pouvant mettre en péril la mission voire les vies de tout l’équipage qui dans ce genre de vaisseau dépassait les 300 personnes.
Et, bien sûr et comme attendu, un obstacle se mit devant eux en la présence d’un être très puissant se disant le défenseur du POINT ZERO (autrement dit le NOMBRIL). Les premiers dommages assénés à l’ENTERPRISE n’était pas très grave et furent réparés assez vite grâce aux compétences de la maintenance sous les ordres de Scotty (le chef ingénieur de tout ce qui concerne la machinerie et l’informatique). Mais dans leur désir de continuer à s’approcher du lieu ZERO, le capitaine eut à un moment un terrible choix à faire.
En effet, l’entité protectrice lui proposa un problème, une énigme comme le sphinx l’avait fait sur terre à Oedipe. En face de lui se trouvait matérialisés 2 BOUTONS, un rouge et un bleu, avec des symboles imprimés dessus représentant une galaxie et un trou noir. L’appui sur le mauvais bouton provoquerait l’annihilation complète de son vaisseau et de ses habitants; le mauvais choix pourrait ainsi EFFACER totalement ce magnifique bâtiment interstellaire et Kirk en avait parfaitement conscience. Mais l’autre bouton ouvrirait une voie directe vers l’anomalie du Point Zéro et toutes les découvertes qui s’y rapporteraient.
Les minutes parurent des heures, surtout qu’un délai de réflexion s’écoulait en martelant les instants de coup de tonnerre sourds et énervants. Il n’y avait plus moyen, non plus de reculer : ça passe ou ça casse. Le suspense était à son comble quand soudain un éclair de génie vint éclairer le choix à faire. Le médecin de bord, le Docteur McCoy estima que l’entité était plutôt sournoise et que le symbole de création devait être le piège amenant à la destruction.
La main toute tremblante, Kirk s’avança du bouton représentant la FIN de toute chose et Appuya dessus (« que Dieu nous vienne en aide » a-t-il alors pensé) Et Le docteur avait eu raison. L’ENTERPRISE se retrouva au coeur d’un complexe inconcevable où tout était réalisable, tout simplement il suffisait d’y penser.
Le temps et l’espace était abolis et la béatitude et la plénitude inondaient tout aux alentours (si alentours il y avait). On y pouvait revivre n’importe quelle période de sa vie et imaginer mille et une scénariste de bonheur. « Est-ce ainsi le PARADIS ?  » demanda McCoy un peu septique. Mais était-ce la vie ou une non vie ?
Alors ne trouvant pas l’existence très réaliste puisque dépourvue de « piquant » Tout l’équipage décidé de laisser derrière eux cette oasis ouatée d’un pseudo bonheur pour retrouver les émotions du danger, de l’aventure ou de risquer sa vie la rend bien plus exaltante et précieuse.

Voilà, j’espère n’avoir pas trop abusé de votre temps par ce récit tiré des aventures du capitaine Kirk de STAR TREK.
Je sais il faut aimer la SF
Demain je prendrai un autre domaine.

En attendant voici les 3 prochains mots :
Chasse
Poche
Bloc

[marysha62]

mon histoire courte
sur la route des vacances,je m’arrête sur l’aire d’autoroute;je me dirige vers le bloc(3) sanitaire sans oublier de mettre quelques feuilles de pq ds ma poche(2);il n’y en a pas tjs ds les toilettes;sur la porte est écrit en grand:n’oubliez pas de tirer la chasse(1) d’eau.
voilà c’est tt pour aujourd’hui lol;j’espère que vs aurez apprécié.

• Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 4 mois par marysha62.

[g.p]

Chasse-poche-bloc
Le choc avait été d’une extrême violence. Les voitures semblaient tout droit sorties de la casse.
Vite alertés, les pompiers et le Samu s’occupèrent de la désincarcération et des premiers soins aux victimes.
Toutes sirènes hurlantes un blessé fut évacué vers les urgences de l’hôpital le plus proche.
Dans le BLOC opératoire c’était branle-bas de combat: une infirmière s’activait à préparer les instruments chirurgicaux dont allait avoir besoin le praticien, une autre perfusait le blessé, une autre faisait une prise de sang pour déterminer le groupe du patient au cas où le blessé devrait être transfusé, encore une autre prenait la tension et s’assurait du rythme cardiaque. Tout était fait avec calme et précision par un personnel dévoué ne baissant jamais les bras et prêt à tout pour sauver des vies, tout échec étant un affront à leur profession.
L’anesthésiste oeuvra le premier et le chirurgien entra en action masque sur le visage et scalpel à la main.
La blessure de la jambe avec écrasement du genou nécessita une bonne heure d’intervention.
L’accidenté fut ramené dans une chambre sous la surveillance d’autres soignants. Une POCHE de sang avait été commandée et une transfusion lui fut administrée.
Pas la peine de partir à la CHASSE aux temps morts dans le service des urgences, le personnel n’en connait pas.

[marysha62]

-« bonjour! » dit le garde CHASSE à un monsieur qui se promenait à l’orée de la forêt avec son arme à la main.
-« bonjour! »répondit maurice un chasseur
-« vous avez votre permis,monsieur »
-« non »
le garde chasse sortit alors un BLOC note de sa POCHE pour lui dresser une amende;
-« mais monsieur je ne chasse pas;je promène mon chien » dit-il avant du siffler son cocker pour confirmer ses dires;
« viens là mon beau,viens voir papa »
-« et le fusil que vous avez à la main,c’est votre canne ? »
-« oh non, çà c’est pas pour la chasse;c’est pour tuer ma femme ».fin.

[Queenie]

Dans le musée,chaque œuvre était plus belle que sa voisinelui avait on dit quand elle avait annoncé qu’elle comptait s’y rendre pendant les vacances.
Marie ne savait où porter le regard. Elle se disciplina et décida de débuter la visite par les trésors religieux. Mais pas question de visiter idiote! Elle sortit son BLOC- notes de la poche de son sac à mains, pour croquer quelques oeuvres. Cette CHASSE(avec un accent circonflexe) était vraiment superbe.Elle renfermait les reliques d’on ne savait quel saint, et entre nous Marie s’en moquait un peu tant le coffre précieux était magnifiquement travaillé. Les émeraudes etincelaient derrière la vitre de protection, Elle remit le calepin dans son sac. Trop compliqué. Il valait mieux acheter une carte postale dans la boutique à la sortie du musée, voire un catalogue si les autres trésors en valaient la peine. La visite dura bien 2 heures et Marie ne rentra pas chez elle les mains vides. Ce musée méritait vraiment sa réputation.

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