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    marysha62
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    ça passe qd même;
    2 amis(laurent et arnaud) discutent ds la cour d’un lycée;
    -tu sais c’est pas avec des disquettes de mec que tu peux l’intéresser: dit laurent
    -c’est quoi ça des disquettes de mec? répond arnaud qui regardait discrètement lola dont il est amoureux depuis plusieurs mois;elle était assise sur un banc et lisait un livre.
    -c’est ce que je fais moi quand je drague;des phrases com:je suis perdu peux tu m’indiquer le chemin qui mène à ton coeur ou encore je crois que tu vas recevoir une amende parce que j’ai flashé sur toi…parfois ça marche d’autres pas;mais lola n’est pas pareille que les autres;c’est pas mon genre et je ne suis pas le sien;la dernière fois je l’ai vu sortir de la librairie avec la théorie gaïa de maxime chattam;tu veux un conseil?achète le et lis le et après tu pourras en discuter avec elle;
    -je l’ai déjà;je l’ai déjà commencé et j’adore;il partit en courant.
    -tu vas où?
    -j’arrive je vais chercher mon livre;
    5 mns après il était là;-je fais quoi maintenant?
    -viens! et ils allèrent s’asseoir sur l’autre banc à côté de lola;
    lola leva la tête et vit qu’arnaud avait le même livre qu’elle;elle lui demanda:tu l’as fini?c’est bien?
    -non j’ai pas fini;j’en suis à la moitié seulement et toi aussi à ce que je vois;
    -bon je vs laisse :cria laurent en s’éloignant;j’ai un rencard prétexta-t-il pour les laisser seuls;
    -oui à tt à l’heure;
    le 1er pas était fait:lola et arnaud s’étaient rapprochés;pour l’instant ils ne parlaient que bouquin;mais plus tard…à suivre

    #38494
    thelog
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    Bonjour à toutes et tous

    Eh bien , on dirait qu’il y a quelque chose dans l’air qui éveille la poésie et l’usage des mots pour guérir les maux.

    à moi de trouver le chemin qui vous ferait peut-être rêver. ça va pas être facile avec une disquette comme conseil en théorie.
    Bon essayons quand même.

    Nous sommes dans un futur proche à peine quelques siècles. La société humaine a évoluée et pour une fois dans le bon sens. Plus de guerre, plus de maladie, plus de mal commis sur la planète. Le paradis restauré sur la terre avec toute la diversité de la flore et de la faune et sur terre, comme dans les océans et les mers. En plus le climat est agréable dans la plupart des régions. La vie des habitants du monde (car c’est comme ça qu’ils s’appellent maintenant est faite que de bienfaits et tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes avec une démographie qui peut évoluer sans aucun souci de ressources. Vraiment un paradis, un Eden, un âge d’or qu’aurait du connaitre notre planète depuis les débuts de l’humanité.
    Ce décor idyllique posé, intéressons-nous à un des habitants de ce merveilleux univers.
    Lucien a 20 ans, il est jeune et en pleine forme et en apprentissage de son occupation d’adulte, il se destine à être archiviste et en même temps un peu archéologue. Il aime retrouver les vieux « trucs » du monde d’avant l’unification. Et dans ses fouilles, il découvre dans une pièce sauvegardée du temps un objet en plastique (qui n’est plus d’usage à son époque) de forme carré avec une partie mobile qui coulisse et un genre de disque mou qui peut tourner à l’intérieur. Après quelques recherches il apprend que cet objet s’appelait une disquette et que ça servait à stocker des données informatiques. « C’est super » se dit-il je vais pouvoir peut-être appuyer ma théorie comme quoi le monde d’avant était assez avancé technologiquement. Mais le problème c’est que l’appareil pour lire un tel support n’existait plus ; alors comment faire ?
    Il avait donc besoin d’un conseil venant d’une personne plus expérimentée et ayant bien plus de connaissance que lui. Il alla donc à l’institut des sciences et technologies pour y rencontrer « le spécialiste » des antiquités informatiques et là on le mit en présence d’un professeur dans une pièce contenant des tas d’appareils dont celui qui pouvait lire la disquette. Et il découvrit que sur celui-ci se trouvaient encore quelques ligne d’un libre de Jules Verne relatant une aventure sous les océans. N’ayant pas eu plus de renseignements il se trouva assez déçu et continua à rechercher dans les résidus de l’ancienne civilisation la preuve que cette époque avait finalement eu du bon.

    Je sais que c’est plutôt narratif comme style et que l’intrigue n’est pas des plus « sensationnelle » mais la disquette m’a fait penser à de l’histoire (déjà à notre époque) et fait j’en ai quelques unes qui sont stockées dans une armoire chez moi et il est vrai que je n’ai plus aucun moyen de les lire. Dans le traitement des données la technologie ne marche pas mais elle court , elle fuse même (à l’heure de la fibre on peut dire à la vitesse de la lumière).

    Bon j’éclaire le panneau des 3 mots pour demain :
    Antidote
    Phrase
    Touristes

    #38505
    marysha62
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    ce ne sera pas un grand récit
    souvent chez nous,à calais les touristes anglais garent leurs voitures au port de plaisance;et il n’est pas rare que des « petits cons » viennent les saccager,les voler ou encore les brûler;rien que parce qu’elles sont immatriculées GB;parfois même une simple phrase peut même déclarer des bagarres;un anglais demande son chemin et l’autre s’énerve en disant:- qu’est ce qui dit çui là il m’insulte;tt ça parce qu’il n’a rien compris;ensuite t’entends artourne din tin pays;si il existait un antidote à la connerie,je pense qu’il y aurait moins d’idiots sur terre;rien que t’écrire ça je me sens aussi concerner lol;heureusement que ns ne som pas tous pareils.

    #38509
    g.p
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    Antidote-phrase-touristes.
    Mon grand-père était un bon vivant. Sa bonne humeur était contagieuse et il avait beaucoup d’amis, ce qui contrariait beaucoup ma grand-mère.
    Tous les matins avec son café il se servait une rasade de rhum pour donner un peu de goût à ce breuvage amer . Puis il se servait une deuxième rasade qu’il avalait en une lampée pour faire disparaitre les effluves caféinés.
    Le midi il retrouvait ses copains attablés au bistrot du coin à l’heure de l’apéro. Généralement celui-ci consistait en trois ou quatre verres de rosé car chacun payait sa tournée.
    Puis il rentrait chez lui pour le repas arrosé aussi de quelques verres de rouge « d’un grand cru » comme il disait. C’était du trois étoiles, un bon Rubial.
    La pipe entre les dents, il allait s’installer dans son fauteuil pour pousser un petit roupillon. Pendant ce temps-là grand-mère ronchonnait dans sa cuisine, ne sachant à quel saint se vouer pour qu’il arrête de « manger liquide ». Mais pour papy, l’antidote à la boisson était la boisson elle-même. Il disait toujours: « il faut guérir le mal par le mal »!
    Et rebelote, après le café et la bistouille de l’après-midi, il repartait voir les copains. Plus la journée avançait, plus il avait du mal à articuler et les phrases qui sortaient de sa bouche fort pâteuse faisaient penser au baragouinage de quelques touristes étrangers cherchant à s’exprimer.
    Ce n’était pas un mauvais bougre, il avait travaillé toute sa vie et maintenant qu’il avait beaucoup de temps libre, il l’employait à faire fructifier le patrimoine du cabaretier qui s’en réjouissait. Il est mort comme il avait vécu, la pipe au coin de la bouche et le verre à la main.
    Sacré Papy, on t’aimait bien!

    #38521
    thelog
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    Bonsoir tout le monde,

    Je sais que je suis un peu tard, mais certaine journée sont plus remplie que d’autres.
    Même si c’est une courte histoire la morale est là pour nous faire réagir. Comme tu le dis Mary il n’y a pas de Vaccin pour ce genre de maladie. Je ne sais même pas si c’est héréditaire ; j’en doute. En tout cas si tu l’attrapes c’est pour la vie.
    ET Gp la nostalgie des papys c’est magique, moi je me souviens du mien qui rentrait d’être allé à la messe le dimanche matin et quand il trouvait avec sa deudeuche on savait tout de suite si on devait le laisser tranquille toute l’après-midi la séance de l’après office dominical avait du être torride. Mis à part ce petit excès, il était du genre plutôt calme et se donnait à fond dans les anciens combattants. Même que des fois il me mettait à contribution pour remplir des trucs à la machine à écrire (une vieille mécanique) j’adorais.

    Cas d’Urgence
    L’hôpital le plus proche est à 2 jours de marche, et on ne peut que marcher dans cette jungle. Ah, quelle idée de faire cette excursion dans l’équateur au moment où les virus sont les plus actifs. Comme un touriste « non » averti je suis tombé dans le piège des prix attractifs car la saison était un peu morte. Morte est le mot car avec ces saletés qui rodent on risque d’y laisser notre peau (façon de parler). J’ai donc choppé la fièvre et le guide local qui soit disant s’y connait en plante ne réussit pas à faire tomber cette foutue fièvre. Il dit que je suis spécial et que les antidotes qui fonctionnent normalement restent sans effet sur moi. Me voilà bien et dans ma trousse à part les médocs « ordinaires » il n’y a rien sinon le paracetamol. Mais il ne faut pas en abuser.
    Au bout de 2 jours nous arrivons dans une bourgade où le marabout du coin m’examine et avec des phrases incompréhensibles me remet comme par miracle debout en très peu de temps. j’avoue que je n’y comprends rien et que ces peuplades me font un peu peur avec toutes leurs croyances et les secrets qu’ils gardent si jalousement. Bon avec toutes ces turpitudes je ne pense plus qu’à une chose: rentrer en France et dans un pays où se faire soigner est très facile et pratique. pour ça on est bien loti chez nous.

    mots de demain:
    Sandwich
    Argentine
    Souterrain

    #38524
    marysha62
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    gonzalo,à peine 15 ans part comme ts les matins aux aurores avec pour seul repas 1 sandwich;faut bien nourrir sa famille:sa maman, ses 3 soeurs et son petit frère d’à peine 1 an.il est, ce qu’on appelle ou appelait, soutien de famille:son papa juan ayant trouvé la mort 2 mois après la naissance du petit dernier;on a offert(quel cadeau) à gonzalo la place de son père à la mine; le garçon y travaillait déjà un peu mais n’était pas vraiment payé;juste de quoi se nourrir;les mines d’or et d’argent en argentine sont soit à ciel ouvert soit en souterrains;c’est ds une de ses dernières que sont papa et 10 autres mineurs sont morts:une des galeries s’est effondrée;avant c’était à tes risques et périls:tu ne pouvais pas te retourner contre la personne ou la compagnie qui t’employait;il te faisait signer un papier qui stipulait que si il y avait un accident ds la mine et que tu mourais,ils n’étaient en aucun cas responsables;tu meurs à la mine,t’es mort point barre comme on dirait aujourd’hui;
    heureusement que ce n’est plus pareil maintenant en france;je précise en france car ds certains pays c’est peut-être encore com ça;ce qui n’a pas changé,c’est pas une personne qui gouverne mais c’est le « pognon ».

    #38542
    thelog
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    Bonjour la compagnie des conteurs déchainés.

    Voilà la journée à l’usine est terminée et ma semaine d’astreinte également avec en plus pas d’appel ce qui est des plus appréciable.
    (faut dire que pendant une semaine 24h/24 celui qui prend l’astreinte informatique peut se faire appeler à n’importe quelle heure entre 17h et 8h et le Week-End donc ça peut être stressant, surtout qu’on ne sait pas sur quel problème on peut tomber là une autre source de stress).

    Bon le boulot doit rester au boulot.
    La vie dans certain pays est plus difficile qu’en France et en plus au niveau des protections ceux ne sont pas les mêmes chansons, ni partitions. Là bas les gens dansent une drôle de chorégraphie. Ici on se plaint d’aise et on n’est jamais content. Le Français est réputé pour être râleur alors on ne se prive pas de dorer ce blason (voir ce qui se passe dans les rues).

    Mais laissons cela aussi (on nous le rabâche tous les soirs aux infos)

    Rescapé

    Victor était pressé. Il roulait vite et dans sa précipitation ne portait pas l’attention voulue à la route et aux usagers. Il roulait VITE, VITE, VITE. Il ne devait absolument pas être en retard à ce rendez-vous hyper important pour sa carrière au sein de cette entreprise de soja d’Argentine (une des premières du Monde). Il doit s’entretenir avec le PDG et montrer son projet de développement aux différentes directions du groupe. Oui, c’est extrêmement important et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il n’est pas en avance. La circulation n’était pas fluide à cette heure de pointe. Il klaxonnait et louvoiyait entre les véhicules en prenant de plus en plus de risque. Quand, un moment donné, il fut pris en sandwich entre 2 camions et là il crut son heure arrivée et être victime d’un accident. Mais il sut se sortir d’affaire. Mais il lui restait encore pas mal de route à faire et surtout il savait que le goulot se créait surtout à l’entrée du souterrain dans le tunnel passant en dessous du fleuve.
    Il finit par arriver à l’heure et avec calme et sérénité exposa son affaire et même il réussit à convaincre ces messieurs, dames du bien fondé de l’entreprendre. Sa carrière décolla alors.

    #38544
    g.p
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    Sandwich-Argentine-souterrain.
    Il est des jours qui restent gravés dans ma mémoire, je vais vous en conter un.
    Le samedi 30 juin 2018, je regardais à la télé le match France-Argentine qui se déroulait au Kazan Arena en Russie. Face à nos excellents Griezman, M’Bappé, Giroud se trouvait un petit argentin qui si je ne me trompe pas s’appelait Lionel Messi. Quel allait être le sort réservé à nos champions? Bien malin celui qui aurait pu le prédire.
    Quand les équipes sortirent du tunnel pour pénétrer sur la pelouse comme s’ils sortaient d’un souterrain où ils auraient été retenus, ce fut un tonnerre d’applaudissements. Je reconnais que la qualité des joueurs le méritait bien.
    J’étais donc assis dans mon fauteuil et comme tout téléspectateur qui se respecte, j’avais préparé tout ce qu’il faut pour passer un bon moment: des sandwiches sur une assiette et quelques bières bien fraiches à portée de main. Interdit de me déranger, la coupe du monde c’est sacré!
    A peine un quart d’heure s’était écoulé que notre Antoine transformait le pénalty tout à fait justifié. Belle entame de match. Mais à quatre minutes de la mi-temps, un argentin (comme par hasard j’ai oublié le nom) ramène les deux équipes à égalité. Le rythme avait un peu baissé côté français et la pause fut bienvenue.
    La seconde période à peine entamée, voilà qu’un autre argentin (comme par hasard j’ai oublié le nom) trompe notre Hugo préféré. Les bras m’en tombent, vite une autre bière! A peine la dernière gorgée avalée, notre Benjamin Pavard envoie une patate dans les filets adverses Phénoménal!!!
    Les compteurs sont remis à Zéro. Nos tricolores ont repris de la couleur et notre ovni M’Bappé loge coup sur coup le ballon dans la cage argentine.
    Quel match inoubliable fait de suspense jusqu’au bout où un argentin (comme par hasard j’ai oublié le nom) ramène le score à 4 à 3 lors des arrêts de jeu.
    Une bière par but, le soir j’étais ivre de bonheur et de …bières, je pouvais aller me coucher.

    #38546
    thelog
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    Et un et deux et trois et quatre et hop dans la poche
    Que d’émotions mon GP !!!

    Voilà de quoi en ajouter encore et encore :
    Autruche
    Tourisme
    Citrouille

    #38557
    marysha62
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    l’agence de tourisme ne s’était pas trompée en disant qu’halloween à new-york c’est magnifique,géant…. elle n’avait pas assez de mot pour décrire.
    arrivés à la gare grand central à new york,nous sortons nos déguisements de nos valises et allons ns changer dans les toilettes;ns déposons nos bagages ds une consigne en « ville »;et ns partons rejoindre le défilé;sur le chemin ns avons pu admirer les maisons décorées;ils font fort là-bas:des milliers citrouilles illuminées à la bougie qui projettent des ombres bizarres,des grosses araignées en plastique qui montent et descendent le long d’un fil et leur toile géante,des sorcières qui tournoient sur elle même en ricanant et menaçant avec leur balai,des monstres…ce qui ns a plus marqué c’est le cimetière fabriqué près de l’église:des croix en bois plantés ds la terre du jardin avec, posés dessus des morceaux de chiffons ensanglantés ou des têtes coupées traversées par un couteau;une vision d’horreur avec la musique macabre qui va avec.
    à peine rejoint le défilé,on se fait « bombarder »de photos;pourquoi?on sait pas vraiment;beaucoup voulait poser avec nous;c’est vrai qu’on n’étaient pas beaux;une bonne soeur avec un masque horrible,un vampire avec le costume rouge et noir et chemise blanche du comte dracula,un monstre avec un masque blanc plein de cicatrices,une fée maléfique et enfin une sorcière avec un masque vert à pustules et des longs cheveux gris et noirs tt emmêlés;contrairement à ce qu’on pourrait croire c’est très bien organisé,très bien « structuré »,pas le droit de boire d’alcool ce qui empêche les débordements, juste le droit de s’amuser;on défile tranquillement sur la grand place jusque l’église;entre les supers héros,les personnages de films,dessins animé, bd,livres,les sportifs et leurs pom pom girls,les animaux(on a même vu une course d’autruches: »habillés d’une sorte de bouée pleine de plumes et tenant les rênes qui maintiennent la tête de l’autruche,les 4 garçons se faufilaient parmi la foule à tte vitesse;ils partaient vers l’avant et revenaient systématiquement sur le côté sans courir,se remettaient au bout de la file et recommençaient),monstres,fantômes,sorcières et autres,ns les 5 français étions fiers de faire fureur à halloween à new york;on pense que ce sont grâce aux masques en plastique:on n’a pas vu grand monde en porter:soit ils avaient des déguisements complets(des panoplies quoi)ou alors ils étaient maquillés;mais des masques pas beaucoup;à l’église,ils descendent (arachnophobes sauvez vous)une araignée toute velue géante avec jeux de lumières qui donnent l’impression qu’elle va ns marcher dessus et tjs la même musique macabre;et voilà c’est fini;on récupère nos bagages et rentrons à l’hôtel;on est fatigué,mais ravi;mais va-ton pouvoir dormir?va t-on faire de beaux rêves?ou va-t-on faire des cauchemars du monde d’halloween?houuu

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 2 mois par marysha62.
    #38561
    Queenie
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    Tu tiens( tenais )la forme Mary. Et ce sera sans moi parce que sinon je ne dors pas…

    #38562
    g.p
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    Autruche-tourisme-citrouille.
    Dans le village où vivait ce couple tout à fait ordinaire les commérages allaient bon train. Chacun avait quelque chose à dire sur sin voisin. Il faut dire que le coin est petit et les nouvelles vont vite. Chacun montrait du doigt la femme du jardinier qui recevait beaucoup chez elle. Mais une bigote plus perspicace que les autres avait bien remarqué que certains jours étaient plus chargés que d’autre et cela correspondait aux jours d’absence de son mari. Il n’en fallait pas plus pour que la rumeur d’adultères se mit à circuler parmi les villageois: le jardinier était cocu!
    Les bruits qui courent ont tant de force de propagation qu’en peu de temps ils parvinrent aux oreilles du jardinier qui s’obstinait à ne pas croire un mot de ce qui se disait et continuait à faire l’autruche. Pourtant il avait tort car à force de ne pas voir la réalité en face, il devenait la risée des voisins. Il menait sa petite vie tranquille, cultivant ses légumes, apportant un soin particulier aux citrouilles qu’il offrait aux enfants au moment d’halloween. S femme pendant ce temps se donnait corps et âme aux galants qui moyennant finance trouvaient avec elle moyen de satisfaire leur libido.
    Et la rumeur courait toujours et s’amplifiait. Le jardinier n’en avait cure.
    Un jour sur la place du village un car de tourisme déversa son flot de passagers venus découvrir le charme et la beauté de ce coin calme et tranquille. Ne vit-on pas alors un de ces touristes peut-être au courant des activités de la dame, toquer à sa porte d’entrée? La commère s’empressa de colporter la nouvelle et cela contribua à faire connaitre la femme du jardinier au-delà des limites du village. Elle était devenue célèbre pour ses frasques amoureuses tarifées. Tout le monde plaignait son mari et se demandait comment il pouvait n’avoir aucun doute sur la fidélité de sa moitié.
    Tous les villageois eurent un jour la réponse lorsqu’ils virent s’ériger sur une parcelle boisée la plus belle demeure qu’aucun n’avait pu se payer. Le jardinier qui n’était pas sot avait fait fructifier les fruits du labeur de sa femme qui lui rapportait bien plus que ses légumes.
    Sa moralité: occupez-vous de vos oignons, moi je m’occupe des miens et j’engrange du pognon.

    #38563
    marysha62
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    jolie histoire gp si on peut dire ça com ça

    #38573
    Queenie
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    Exactement!!!

    #38576
    thelog
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    Eh oui c’est tout mignon tout ça mais pas trop moral en tout cas pour moi

    Maintenant s’il en était pas moins « cocu »
    De jouer à la Française des Jeux il aurait du
    Car qui connait le dicton sur la chance
    Comme lui se foutrait des remontrances
    Et dans le matelas ou le bas de laine
    y mettrait tout l’argent de cette aubaine

    Phénomène Animalier

    Au zoo de « L’Incroyable » les animaux sont rois et sont bien souvent les derniers de leurs espèces.
    Du coup chacun a sa petite particularité, et les soigneurs connaissent toutes les petites manies de leurs pensionnaires.
    Il y a ceux qui sont terrées toute la journée et font un raffut pas possible la nuit empêchant les autres de dormir (ceux-là ils ont du les isoler dans un hangar totalement insonorisé en prévoyant des ouvertures pour que les personnes venant du tourisme puissent les voir).
    Dans la catégorie des costauds il y a le grand Condor de la Pampa Argentine qui vue son envergure peut soulever s’il le veut une voiture aussi aisément que nous soulevons un sac de course. Et bien, lui, on l’utilise pour la manutention à l’intérieur du Zoo (pratique NON).
    Et il y a Gertrude, une autruche bien spéciale. Elle ne pond qu’un oeuf tous les 2 ans, mais quel oeuf. Il est énorme et pour le comparer avec un produit que nous connaissons on peut dire que c’est plutôt une citrouille du point de vue du volume. Bien sûr, lorsque Gertrude a fait son phénomène durant des semaines celui-ci est exposé à la vue de tous sur un nid aménagé tout exprès et les enfants ne tarissent pas de questions pour savoir comment Gertrude peut faire un tel exploit. Sa soigneuse Mademoiselle Josette, leur raconte le conte de l’oeuf mou qui pour arriver à passer se déforme et reprend aussitôt sa forme sphérique par gravité et selon les tensions régnant à sa surface.
    Bien sûr tout ça avant de durcir.
    Puis après ces quelques semaines l’oeuf est décoré par toute une école de maternelle et il part au musée du Zoo après avoir été vidé de son contenu (belle omelette en perspective pour les employés du zoo et même certains locataires)

    et demain ce sera :
    Chaire
    Pieux
    Membrane

    Si j’étais Dracula je me ferai tout petit

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