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marysha62, le il y a 2 mois et 1 semaine.
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1 janvier 2023 à 18 h 28 min #57624
Péjoratif : Qui a un sens défavorable. / Mot ayant un sens défavorable.
Concilier : Rendre compatible. / Essayer de trouver un accord entre des parties ayant des intérêts opposés ou distincts. / Rendre agréable à un groupe de personnes, à une catégorie. / Se rendre agréable, bien disposer quelqu’un en sa faveur.
Mammaire : Relatif à la mamelle, au sein.
Ciseler : Travailler le bois, la pierre, avec un ciseau./Parfaire un travail, travailler avec minutie./CUISINE:Inciser une viande ou un poisson pour favoriser la cuisson.
Sournoisement : De manière sournoise, en dissimulant ses véritables intentions, à la dérobée.
Chimpanzé : Singe africain primate, très proche de l’homme
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C’est à la vue de la laborantine, Monique, que Michel, le chimpanzé sur lequel étaient faites les études, eut un rictus « humain » de sourire.
Faut dire qu’entre eux deux il y avait quelque chose de pas commun. On peut parler d’affection. Monique avait donc réussi à amener Michel à se concilier avec tout ce qu’on lui demandait de faire.
Il répondait à tous les tests tant que Monique était dans la pièce avec lui.
Puis un jour, tout fut différent. Avait-il ressenti que Monique attendait un bébé grâce aux sécrétions mammaires de lait ?
On ne le sait pas.
Mais ce fut terminé. Sournoisement Michel la rejetait sans cesse et même devenait violent en la voyant. Une fois même il avait pris un scalpel et avait ciselé légèrement la blouse de Monique.
Du coup, Monique n’eut pu le droit d’approcher Michel. Elle en fut très peinée.
La sanction lui semblait assez péjorative et pensait qu’on les punissait tous les deux.
Quelques semaines plus tard lorsque Monique revint au travail après son congé de maternité, elle fit un tour dans le laboratoire et retrouva Michel dans son box en train de mâchouiller de la verdure.
Il la vit et le même sourire se fit sur son visage. Apparemment il avait digéré le fait que Monique ait eu son bébé.
Et même quelques mois après ces retrouvailles, Monique lui présenta Didier, son bébé.
Il se produisit alors comme un flash dans les yeux de Michel et de Didier, ils s’entendirent tout de suite comme si c’était des frères.
Et les études comportementales reprirent avec maintenant Monique, Michel et Didier.
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Égyptien
Contre-miner
Conoïdal
Celle
Philanthrope
Durillon1 janvier 2023 à 20 h 55 min #57627L’amour des animaux ou avec les animaux est inexplicable. C’est juste du feeling, pardon du ressenti….
2 janvier 2023 à 14 h 08 min #57643Merci Queenie
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Égyptien : originaire ou habitant de l’Égypte
Contre-miner : Protéger par des contre-mines
Conoïdal : en forme de cône
Celle : féminin de celui / Au Moyen Âge, maison et biens des personnes de condition
Philanthrope : Personne qui aime l’humanité (opposé à misanthrope) / Personne généreuse et désintéressée.
Durillon : Callosité qui se forme aux pieds, aux mains.
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C’est dans une drôle de pyramide conoïdale que le professeur a découvert des vestiges égyptiens.
Avant de pénétrer dans les lieux certainement piégés, il prend soin de contre-miner l’entrée.
Finalement à l’intérieur de celle-ci il repère les artéfacts précieux de l’antiquité, provenant de notre histoire.
Comme il est également philanthrope, il partage ses trouvailles avec le reste du monde en les donnant au musée du Caire et aussi sur Internet.
Il connait ainsi la joie de donner et lui fait oublier les durillons conséquents aux travaux de la pierre pour révéler les objets enfouis profondément.
Je ne sais pas si des découvertes peuvent encore se faire à notre époque. En fait le monde est si vaste et les constructions si bien cachées, on ne sait jamais …
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Garde-voie
Crématorium
Lesdits
Reproductif
Baïonnette
Attaché2 janvier 2023 à 14 h 45 min #57646Lors de notre voyage en Egypte offert par un généreux donateur philanthrope , celle qui était mon amie depuis quelques jours seulement se faisait toute une joie de visiter les pyramides. Un guide égyptien nous emmena à la pyramide de Khéops et elle put ainsi satisfaire sa curiosité. Elle n’avait jamais dû voir de pyramide car elle fut étonnée de la forme qu’elle pensait conoïdale avec une base bien ronde. Je me gardai bien de faire une quelconque réflexion.
A peine entrés, le guide nous fit découvrir les galeries souterraines, une sorte de cache-mines , qui mènent aux chambres du roi et de la reine. Après avoir monté et descendu trois ou quatre couloirs étroits nous sommes arrivés dans la chambre du roi puis de la reine. Mon amie fut surprise de ne pas y voir de momies, mais uniquement des sarcophages vides. Elle était très déçue mais le guide nous rassura en précisant que la visite se terminerait au musée où se trouvaient les momifiés. Je commençais à fatiguer dans ce dédale de couloirs et de ruelles creusés dans la pierre.
Mais arrivée à l’air libre, mon amie qui souffrait des pieds à cause d’un durillon très mal placé, me prit pour le chameau de service et se hissa sur mon dos, la jupe retroussée jusqu’aux cuisses.
C’est ainsi que s’acheva notre visite sous le regard ébahi des autres visiteurs.2 janvier 2023 à 17 h 42 min #57648Jusqu’à la fin, je me demandais quelle chute tu allais nous mettre GP et les jambes en l’air puisque suspendues à ton coup nous ont apporté le sourire du gag grivois.
Et pour la petite histoire tout tourne autour de l’égyptien. C’est vrai que ça fait rêver …
Demain ce sera plus funeste : Crime au crématorium (endroit tout disposé pour éliminer le méfait) Basile sera-t-il à la hauteur ?3 janvier 2023 à 10 h 58 min #57659Garde-voie/crematorium/lesdits/reproductif/baïonnette/attaché.
Les yeux fixés sur les rails à penser je ne sais quoi, le garde-voie , un jeune soldat peu habitué aux ruses de la guerre, ne vit qu’au dernier moment son supérieur qui d’un coup de baïonnette le fit passer de vie à trépas. Son compagnon d’arme qui n’avait pas les mêmes responsabilités fut attaché les mains dans le dos à un poteau de soutènement sur le quai.
Leur seul tort avait été de ne pas prévenir la hiérarchie de l’arrivée imminente d’un train de prisonniers.
Quand le train arriva, des bruits de voix sourds se firent entendre s’élevant des wagons bondés. Quelques gradés en descendirent. Les prisonniers entassés continuaient de gémir tandis que lesdits gradés hurlaient au silence.
Dans une atmosphère pesante, des pauvres formes humaines furent sorties des wagons, emmenées à l’écart et bientôt les coups de fusil se firent entendre.
L’air transpirait la mort.
Les corps furent rassemblés et jetés les uns sur les autres comme des vieilles carcasses et l’épaisse fumée d’un crématorium à ciel ouvert envahit l’espace sous l’oeil terrifié du soldat attaché.
L’imagination reproductive d’un tel déchainement de violence engendra alors une sorte de contamination de tous les cerveaux des chefs de guerre qui rivalisèrent d’ingéniosité pour accélérer le rythme infernal des exterminations..3 janvier 2023 à 13 h 17 min #57660Dans l’ignominie, il n’y a pas de limite pour les hommes dits de pouvoir. Le règne de la terreur et de l’horreur est un autel aux sacrifices de la bêtise humaine et tu nous présentes là, GP, un des aspects les plus affreux et en plus totalement gratuit.
Tout ça me fait penser que même à notre époque, dite « moderne », qui devrait tenir compte des conneries passées, les atrocités existent et sont bien plus sournoises car déguisées sous des airs de justice justifiée ou de préservation du monde. Et s’il fallait rechercher dans tout ça un grain d’amour, on n’en décèlerait même pas un atome.
Bonne journée et à ce soir3 janvier 2023 à 13 h 20 min #57661Trop dur à lire GP même si je sais que ça a existé et que ça existe encore.
3 janvier 2023 à 18 h 12 min #57676Garde-voie : Agent surveillant une voie ferrée.
Crématorium : Four dans lequel on incinère les restes des morts.
Lesdits : Ceux qui ont été désignés
Reproductif : Relatif à la reproduction. / Qui engendre une nouvelle chose, un nouveau produit.
Baïonnette : Lame effilée se fixant au bout du fusil. / TECHNOLOGIE : Dispositif de fixation d’ampoule électrique.
Attaché : Lié à. / Habitué à. / Affecté à.
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Le mystère était entier et restait incompris. Comment, dans ce crématorium un tel événement avait pu se produire.
Des cendres abondantes furent trouvées dans le réceptacle du four. Et l’employé était certain d’avoir tout nettoyé la veille.
De plus la consommation de gaz était supérieure au relevé de la veille au soir. Encore une preuve que le four a fonctionné.
Le garde-voie, comme on le désignait, c’est à dire celui qui s’occupait de l’acheminement des défunts dans la chambre était lui affirmatif : le chariot avait bougé.
Malheureusement le responsable était toujours absent et même introuvable malgré des recherches actives.
Le détective Basile fut demandé pour enquêter sur ces faits troublants et lesdits faits l’amenèrent à penser que la poussière recueillie dans le bac pourrait correspondre à ce responsable d’établissement.
Une fouille bien menée lui permit de dénicher une baïonnette tachée de sang qu’on avait essuyée grossièrement et placée hors de la vue des visiteurs.
Il y avait pas mal de choses à envoyer au services scientifiques pour analyses car en plus des 2 choses mentionnées ci-avant, un relevé d’empreintes et de divers substances furent mises dans le carton pour ce service. Les résultats seraient assez long à revenir.
En attendant, Basile continuait ses investigations. Attaché à une machine reproductive de plaques funéraires avec l’effigie de la personne décédée, il remarqua la présence d’une marque spécifique dans la matrice de l’appareil.
Celle-ci fut très délicatement retirée et analysée. Ce qui donna à notre Basile une élément de comparaison pour confondre le coupable.
Il s’avéra que le doigt que formait cette marque était du genre féminin et que la seule femme travaillant dans cet établissement était la petite amie d’un des employés.
Elle était également absente et introuvable.
L’employé concerné ne semblait d’ailleurs pas inquiet de ne pas la voir et après un interrogatoire soutenu, il avoua que c’est lui qui avait surpris les amants constitués de cette dame et son patron en train de … (« vous voyez ce que je veux dire, Mr Basile »). Et que la colère mêlée de jalousie lui avait fait faire qu’un tour et dans une rage pas possible, il prit la baïonnette et assassina les 2 personnes, ensuite il profita du four pour les faire disparaitre.
Les analyses confirmèrent que 2 personnes étaient présentes dans les cendres et le sang.
Le coupable fut condamné à la prison, là il aurait tout loisir de repenser à son geste.
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Disette
Ville
Kanji
Déclive
Ex-alcoolo
Sud-sud-est3 janvier 2023 à 18 h 38 min #57677il s’appelle gaspard;on pourrait presque dire qu’il a 2 vies:tantôt une vie de reclus qu’il passe enfermé à créer,inventer,mettre au monde des projets;tantôt une vie de nomade qui l’amène sur les routes pour aller présenter ses projets;son dernier « bébé » est isabella annalisa roberta i.a.r com intelligence artificielle robotique;c’est une femme robot qui ressemble presque à une vraie femme;ils sont en route ts les 2 pour une expo internationale;il est quasiment sûr qu’il va cartonner avec sa nouvelle invention;pour l’instant elle n’obéit qu’à sa voix mais par la suite il les créera aux gouts des autres;pssssssssss qu’est-ce qui se passe?la voiture se mit à dévaler la pente tt en zigzagant;il freina brusquement et finit sa course ds un grenadier et toutes les grenades s’écrasèrent sur le toit et le capot;la tête d’isabella tapa sur le parebrise;elle défit sa ceinture et sortit de l’auto;gaspard lui demanda si elle allait bien;çaaaa vvaaaa cling clang(bruit de métal) j’ai maaaallll à aaaa la tttttttt ;elle se mit à tourner sur elle même;un bredouillis incompréhensible sortit de sa bouche et elle se tut à tt jamais;gaspard se précipita vers elle,l’examina et ne put que constater les dégats;elle était belle et bien en panne;mais rien d’irréparable;il essaya de redémarrer sa voiture;pareil en panne;reste plus qu’à téléphoner décommander sa place à l’expo;appeler le garagiste;oui mais voilà son portable qui était posé sur le bord du tableau de bord s’est brisé en tombant;en panne aussi; et lui en panne d’inspiration s’assit sur le bord de la route déserte et attendit,attendit, attendit………. enfin une fourgonette de gendarmerie;prévenue par sa môman et les membres de l’expo,qui n’arrivaient pas à le joindre,les gendarmes étaient partis à sa recherche;lui pour rien au monde n’aurait abandonné son amour d’iar ne serait-ce que pour 1 heure.l’expo sera pour une autre fois;la solidité est à revoir.aidé de 2 gendarmes ils installèrent isabella à l’arrière du véhicule et ils le ramenèrent chez sa mère où il allait se faire dorloter en attendant de soigner sa femme robot.
3 janvier 2023 à 19 h 02 min #57681C’est pas de bol toutes ces pannes. J’avoue que je redoute l’intelligence artificielle…..
Je viens de voir une blague pas si drôle que ça….une femme qui demande à son mari pourquoi la facture d électricité est aussi élevée. Le couplé quitte la maison et là on voit le perroquet qui dit:Alexa allumé la lumière. Alexa allime la télé etc…..
Je sais tout le monde n’a pas un perroquet mais c’est quand même inquiétant ces Alexa, Siri et autres..4 janvier 2023 à 10 h 29 min #57699Disette/ville/kanji/déclive/ex-alcoolo/sud-sud-est.
Dans mon ancienne vie, tout allait en pente, j’avais le gosier en déclive , les rues allaient en déclive, je voyais même les marches déclives des escaliers dans des salles déclives. Il faut dire qu’à cette époque je n’avais qu’un seul ami et il s’appelait Johnnie Walker.
Avec lui je déambulais dans les rues de la ville que je traversais en zigzag, bien incapable de dire où je me trouvais, était-ce le sud, l’est, à moins que ce ne soit le sud-sud-est ? Je ne savais pas. Entre deux hoquets j’essayais de m’adresser aux passants pour leur réclamer quelques pièces mais en cette période de crise, la disette s’installant un peu partout, les donateurs se faisaient rares.
Pourtant une âme bienveillante eut pitié de moi et me prit sous son aile. Elle m’offrit un toit, une douche, quelques vêtements propres et me trouva un petit travail peu flatteur mais suffisant pour me remettre le pied à l’étrier.
Petit à petit, à force de persévérance, elle réussit à me débarrasser de mon ami Johnnie qui me devint étranger.
J’arrive maintenant à lire les panneaux d’affichage que je voyais écrit en kanji tant mon cerveau était embrumé. L’ ex-alcoolo que je suis devenu, maintenant fier d’avoir retrouvé la joie de vivre, se permet maintenant de donner des leçons de morale à ceux qui malheureusement font encore partie de mon ancien monde.
Merci à cet inconnu qui m’a ouvert sa porte et que je n’oublierai jamais.4 janvier 2023 à 11 h 24 min #57700belle leçon d’humanité gp
4 janvier 2023 à 13 h 29 min #57708Ça serait encore plus humain de ne pas donner de leçons de morale à ceux qui succombent encore à la tentation…
4 janvier 2023 à 14 h 15 min #57709Merci GP de cette leçon. Comme quoi ça existe les personnes qui s’en sortent
Justement ce matin j’entendais à la radio que ça faisait plus de 47 ans qu’un acteur britano-américain ne buvait plus une goutte d’alcool (chapeau)
En fait le mot d’ordre de Anthony Hopkins est de s’occuper de soi et de s’aimer aussi.Maintenant les rapports qu’on a avec cette substance sont souvent compliqués car on ne s’en rend pas toujours compte. Et aussi, on le fait pour oublier d’autres blessures ou maux durs à supporter. Je ne cherche pas d’excuses à ceux qui sont sous son emprise car comme le souligne GP, il faut être au fond du trou pour voir la main tendue et la prendre. C’est en général le chemin de l’addiction qu’on ne voit pas nous concernant.
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Disette : Pénurie d’alimentation / Manque de vivres
Ville : Zone urbanisée / Agglomération importante
Kanji : Caractère chinois de l’écriture japonaise.
Déclive : Qui est incliné, en pente
Ex-alcoolo : Ancien alcoolique (ARGOT)
Sud-sud-est : direction sur une boussole
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Sa boussole était bloquée sur le « sud-sud-est » et tout désemparé, il ne savait plus où il se trouvait surtout que depuis qu’il était devenu un ex-alcoolo, il cherchait à retrouver ses repaires et un certain état de manque troublait encore son équilibre et sa vue.
Mais il savait qu’il ne devait plus y toucher (à la bouteille). En suivant tant bien que mal le versant déclive de ce talus, il rencontra une route et en suivant celle-ci, il arriva dans une ville où toutes les indications étaient en kanji.
Heureusement qu’il avait quelques notions de japonais et qu’il put ainsi s’orienter et retrouver un dispensaire des MSF.
Des soins lui furent prodigués à cause des années de disette qu’il avait parcourues avant de prendre conscience de son état de déchéance dans lequel il était tombé.
Et après quelques semaines, il put retourner chez lui dans son pays et s’installer dans sa région. Il en profita pour raconter dans un livre ses aventures et comment il avait vaincu ses addictions.
Quand on est jeune, on a peur de rien et on est invincible, indestructible. Et l’aventure nous amène parfois très loin de chez soi et de ceux qu’on aime.
On a de la chance alors si on peut revenir aux choses essentielles de la vie.
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Normalement
Nuancer
Interministériel
Océanologie
Contenance
Aspersion -
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